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STAGE à NANT - Juin 2009 | |
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Séjour du 15 au 20 juin 2009 au Domaine du Roc Nantais ****************************** Organisation générale : Notre Président Marcel Robillard, comme chaque année nous organise une « semaine vélo ». Cette année le rendez-vous est à NANT près de Millau et son jeune mais déjà très célèbre viaduc, avec l’avantage de pouvoir sélectionner les meilleurs circuits, la région n’ayant plus de secrets pour plusieurs participants. Un stage s'est déroulé au même endroit en juin 2002.
Pour mieux vous situer NANT et une vue du Village vacances Site web: http://www.relaisoleil.com/nant
Lors des réunions préparatoires 2 groupes de niveaux équilibrés ont été formés : Le 1er pour les «costauds» avec : A. Banchet, Loulou Breysse, JP Bruel, F. Chautard, R. Chovet, G. Couder, JY Fournier, Jo Geourjeon, C. Gomez, A. Massard, E. Montabonel, D. Patouillard, Le deuxième pour les "cyclos" avec : A. Bourdon, T. Capitanos, B. Charra, P. Chatagnon, J. Contrino, A. Poussuet, M. Robillard, R. Squidino, Toto Vaccaro
1 véhicule d’assistance et de dépannage avec : Marcel Cottin et Marcel Peyrard « Les Marcels », comme chaque année, se sont dépensés sans compter pour charger, transporter et déballer les repas de midi, trouver un endroit accueillant pour le pique-nique, nous indiquer la route, nous ravitailler en eau, dépanner, transporter et réconforter les cyclos en difficulté…
Lundi 15 juin : Départ à 6 h30, de façon à être prêts pour le départ de la rando de "mise en jambes" ( tu parles) Aussitôt après le repas, les 2 groupes entament le premier parcours, 90 km et 1220 m de dénivelé. Une longue montée à pente régulière nous mène sur le plateau. Le temps est couvert, nous essuyons même quelques gouttes mais il fait chaud (30°). Le circuit passe par CORNUS, la vallée de FONDAMENTE, ROQUEFORT le temple du fromage de chèvre et au retour nous ferons un arrêt photos à LA CAVALERIE, superbe village très joliment restauré. Une bonne prise de contact avec cette région du Causse qui nous réserve de belles parties de manivelles.
Mardi 16 juin : La montée de l'AIGOUAL ayant été reportée au mercredi, nous avons inversé notre programme et aujourd'hui, direction le Cirque de Navacelles. 112,5 km et 1670 m de dénivelé. Météo incertaine, nuages et soleil vont se partager le ciel mais la température reste très élevée et nous le vérifierons dans l'après midi. Mais l'important c'est l'état du vélo et il ne faut pas partir sans de bons réglages...
Concertation avant de partir pour s'assurer que les troupes sont prêtes,
et en route pour le col de la Barrière qui nous ouvre les gorges de la VIS
avec les premiers essais de prise de photos en roulant, un peu "limite" parfois mais ça évite de s'arrêter Jusqu'à Vissec, la route serpente au fond des gorges et l'ambiance est plutôt "cool", c'est après que ça se gâte. Vissec donne le départ de la montée le long de la falaise qui doit nous mener au dessus du Cirque de Navacelles. La chaleur s'accentue et la pente aussi, deux conditions qui rendent notre progression plus "cyclo".
changement de rythme - le petit point blanc, au milieu, c'est le camion des Marcel qui suit le premier groupe en pleine ascension, ça monte ! Arrivée au sommet de Robert, de Théo et Marcel. Le temps de faire la photo ....
et l'Albert nous arrive dessus, comme une fusée. Il a largué ses équipiers, arrêtés pour "éliminer" et mis plein gaz dans la montée. Ah il ne s'est pas fait que des amis....
-=-=-=-= Une déviation pour travaux - c'est bien l'époque du goudronnage des routes - nous oblige à faire un léger détour mais nous arrivons bientôt à l'aplomb du Cirque, grandiose, tant de fois cité parmi les plus beaux sites de France. Et là, ça commence à moins rigoler car il va falloir descendre ( on sait faire ) et.... remonter de ce gouffre immense et, tout à coup, moins sympathique.
oui, oui, c'est bien là, tout en bas... C'est parti pour une bonne descente,
non, ce n'est pas l'Alpe d'Huez, mais sans doute sa sœur Sur les conseils, avisés, de Mile Montabo., nous avions prévu de descendre voir la résurgence de la Vis et les vestiges des moulins à huile de la Foux. Le chemin d'accès est dans une épingle et nous faisons halte afin de récupérer des chaussures plus adaptées à la marche que nos semelles à cales. Un gros 1/4 d'heure de marche sur un sentier, nous amène au fond du ravin où réapparait la Vis. Nous profitons de la fraîcheur de l'ombrage. Visite instructive et intéressante.
La remontée s'effectue en douceur car il ne s'agit pas de griller des cartouches dans cet exercice supplémentaire. Certains veulent même ajouter les 200m de dénivelé "pédestres" à ceux du parcours. Cette année, le thème du concours photos du CODEP porte sur le vélo et les fleurs, alors tentons notre chance
un casque fleuri un cyclo, décoré d'un bouquet de fleurs sauvages Bon, c'est un début, soyez indulgents. Mais revenons à notre "balade", décision est prise de faire la halte pique-nique au village de Navacelles, pour ne pas dire "au fond du trou" et si vous suivez bien, cela signifie que la sieste sera remplacée par la remontée sur le plateau ( le petit bien sûr ). Mais nous n'avions guère le choix et le parc ombragé qui nous était promis valait bien mieux que l'abri précaire des rares arbustes du plateau dominant le Cirque. Surtout qu'il faisait vraiment très chaud. Marcel "Cochonou" nous ayant livré les sacs repas, nous nous sommes empressés de les vider.
Le Grand Gérard, en plein action une vue de Navacelles Un café rapidement avalé et nous attaquons la dure montée vers St Maurice de Navacelles
ça monte, mais
ce n'est que le début
Avec des passages à 12 / 13 %, inutile de dire que tout le monde n'a pas été à la fête. Le "Colombien" et autres grimpeurs émérites se sont bien tirés la bourre dans cette bosse mais le gros du peloton a mouillé le maillot pour se sortir de cette cuvette transformée en fournaise. Le compteur s'est affolé autant pour la déclivité que pour la chaleur et les 37 ° sont restés affichés un long moment. Mais une fois tout le monde en haut, quelle vue et quelle sensation de pouvoir se dire "je l'ai eue cette foutue bosse". Arrêt rafraichissement pour tous et en route pour la suite du parcours.
Le retour se fera "au train" sur un parcours moins accidenté. Nous traversons des petits
villages
et, après une ultime grimpette, nous finirons par une descente plein gaz vers Nant. Cette complète, première journée du stage nous a permis de bien rôder notre organisation, les pique-niques et l'assistance. Elle a surtout tenu toutes ses promesses en nous faisant découvrir, pour la plupart d'entre nous, un haut lieu du tourisme Aveyronnais. Douche, apéro, repas et les lumières des chambres se sont bien vite éteintes car demain.... l' Aigoual nous attend. Mercredi 17 juin : C'est aujourd'hui LA journée du stage avec l'AIGOUAL comme objectif majeur. 134 km et 1979 m de dénivelé Nous en avons tant de fois parlé au cours de nos réunions préparatoires que nous étions impatients d'en découdre avec cette forteresse qui domine les Cévennes. La météo devait être au beau fixe, condition sine qua none pour nous lancer à l'assaut de ce petit caillou ridicule de 1567 mètres de haut. Et ce matin le ciel dégagé nous promet une belle journée alors nous n'avons aucune excuse pour ne pas enfourcher nos machines et montrer de quoi nous sommes capables. En hors d'œuvre, le parcours commence par le col de la Pierre Plantée, de quoi bien nous mettre en jambes. Le début est un peu raide mais la fin est un long faux plat. Ouf, ça, c'est fait. Voyons la suite .... mais notre secrétaire préféré choisit ce moment pour nous faire le coup de la roue voilée. Arrêt au col et dépannage express avec l'aide du matériel de nos Marcel, ah si on ne les avait pas !!
pendant ce temps, les gars du groupe 1 nous rejoignent et après s'être assurés que nous pouvions réparer, ils dévalent l'autre versant du col. C'est aussi ça l'esprit du stage. attention les voilà et plus loin, dans la descente du col A notre tour, nous remontons la Dourbie en direction de l'Espérou, mais un "pschiiit" bien connu nous indique qu'une chambre vient de rendre son dernier soupir. Séquence réparation au cours de laquelle l'ami Jacques se sent des envies de chanson, peut être à cause de l'ambiance champêtre ... va savoir ! et il s'empare du cadre de Robert, en train de se débattre avec sa crevaison, et s'en sert comme d'une guitare pour rythmer sa mélodie. Un grand moment culturel au milieu des moutons. ça ne vous rappelle rien ? souvenez vous, Figanières 2008, réparation dans les gorges du Verdon. Le vélo est un éternel recommencement ( vous pouvez admirer les pros de la réparation ) et pendant ce temps, 2 SCOTT en profitaient pour "badiner", si ils font des petits, on pourra les revendre.
Nous arrivons au pied de l'Aigoual avec la montée vers l'Espérou, petite station familiale de ski à 1200 mètres d'altitude, peuplée de charmants chalets. Mais aujourd'hui, pas de neige pour nous empêcher de continuer notre ascension. La route monte régulièrement et sans réelle difficulté, sans doute avons nous pris le versant le plus facile. L'arrivée au sommet se fait presque d'un coup, à la sortie de la forêt où nous débouchons sur de vastes prairies parsemées de piquets marquant le passage. Temps couvert et gris d'un côté et vue dégagée de l'autre, pas de vent, ne nous plaignons pas cela aurait pu être pire.
la forteresse de l'Aigoual nous avait donné rendez vous et nous étions à l'heure Après un dernier regard vers ce bastion cévenol, nous repartons au milieu d'un troupeau de moutons, parfaitement installé au milieu de la route, attention aux cornes !! direction le col de Perjuret, haut lieu de l'histoire du cyclisme, où Roger RIVIERE fit une chute terrible et perdit le Tour de France 1967, nous y repasserons plus tard. Nous dévalons le col en direction de Meyrueis car il est grand temps de nous ravitailler. Les Marcel ont repéré un camping au bord de la rivière et nous en profitons pour nous reposer au soleil. Une terrasse de bar nous accueille pour le café et nous repartons pour 21 km de descente dans les gorges de la Jonte. Un vol de vautours au dessus de nous nous inquiète un peu, seraient ils déjà en chasse d'une proie ? non, ils ne font que survoler le rocher qui les niche, ouf ! Arrivés au Rosier, nous quittons la vallée de la Jonte pour rejoindre celle de la Dourbie mais entre les deux, un raidard de plusieurs kilomètres nous attend. Le compteur indique 7 / 8 % pendant 7 km, chacun prend son rythme car, à ce stade de la journée, l'heure n'est plus aux folles échappées. Il faut assurer le retour. Au sommet les Marcel nous attendent et nous ravitaillent en eau, ils prennent également en charge l'ami Bernard qui a fait preuve d'un grand courage pour arriver jusque là. Nous nous regroupons pour le retour à Nant et, dans la vallée de la Dourbie, nous passons en dessous du village de Cantobre, citadelle de pierre dressée au dessus de la rivière, impressionnant.
Une superbe journée de vélo et de découverte sous une chaleur écrasante qui use les organismes. =-=-=-=-=-= Et pour nous remettre de nos efforts, ce soir nous avons prévu de fêter les 80 ans de Marcel Peyrard. Les participants assidus à nos stages se devaient de lui témoigner toute leur gratitude pour les services rendus, sa disponibilité, sa bonne humeur, sa gentillesse. Le Directeur du centre et quelques unes de ses collaboratrices, se sont joints à notre petite fête, ce qui n'a pas déplu à Marcel...mais restons discrets..
un très grand moment de convivialité,
Jeudi 18 juin : Traditionnellement le jeudi est la journée de repos destinée à recharger les batteries, mais comme il ne faut pas trop laisser les jambes inactives, une sortie dite " de récupération" est toujours prévue. Et cette année, le Président nous a proposé d'aller faire le col du Minier, sans doute que le nom lui rappelait St Etienne ! . Parcours de 100 km par une chaleur accablante, inutile de dire que tout le monde n'a pas été volontaire pour cette balade et c'est un seul groupe qui est parti à l'assaut de ce col. Quelques autres (dont je suis) se sont contentés d'un parcours plus sage de 36 km. Vers midi, sans nouvelles de nos compagnons, nous décidons de passer à table et nous apprenons ensuite que Marcel a fait prévenir qu'ils seraient un peu "en retard" pour déjeuner. Tu parles ! C'est à 13 h 30 que le groupe est arrivé, les traits tirés et les visages marqués par les efforts du matin. Car ils sont bien montés au Minier , comme prévu, mais ils ont du gérer une grosse défaillance. Et la devise du club, le fameux PREE, a joué à plein dans cette occasion, bravo les cyclos.
le vélo est bien un sport d'équipe... =-=-=-=-=-=- L'après midi fut consacrée à la découverte des environs et comme il ne manque pas de curiosités à visiter, chacun a choisi son endroit.
un caprice de la nature, tel qu'on n'en connait pas de semblable (E.A.Martel) =-=-=-=-=-= Mais la soirée nous réservait une surprise et le Président nous avait bien prévenu : rendez vous à 19 heures sinon les retardataires le regretteront. Bon, il a sans doute prévu un beau discours alors soyons à l'heure.... Une fois tout le monde réuni, le Directeur du Relais Soleil nous enjoint de le suivre et nous voilà partis, direction... la surprise ! Revenons un peu en arrière, cet après midi, visite de lieux sacrés où les cyclos ont montré leur intérêt pour les monuments et les vieilles pierres...
et donc rien d'anormal à nous faire entrer dans une "grotte" aménagée par son propriétaire, en plein village de Nant,
sauf que ce n'étaient plus les mêmes statues et les bouteilles remplaçaient le ciboire. Car c'était bien à une dégustation que nous étions conviés. En guise de discours, où nous aurions bu les paroles du Président, nous avons eu droit à une présentation des produits viticoles de la région. Accompagnés de terrines au roquefort et autres gourmandises, comme il se doit. Quelle surprise et quel accueil de la part du Directeur du centre ! nous avons procédé à une montée en gamme de différents crus et la fraîcheur de la cave a vite été oubliée. Un super moment dont nous garderons un excellent souvenir. Marcel Peyrard aussi car cette descente de cave était liée aux festivités de ses 80 printemps.
et pour faire passer le tout, une partie de foot, c'est pas une bonne idée ? ah quels gamins !
si, je vous assure, c'est bien après ...mais quand on a les jambes ... Bon faut aller au lit maintenant car demain y'a vélo et du lourd !!
Vendredi 19 juin : Le programme du jour est copieux : 166 km et dénivelé variable selon le parcours, entre 1920 et 2200 mètres. Les gorges du Tarn et le col de Perjuret en sont les 2 points forts. Mais une, mauvaise, surprise nous attend lorsque nous ouvrons les rideaux : le brouillard est installé et semble bien épais. Aie! Les discussions météo vont bon train jusqu'à ce que Josy (charmante serveuse du centre), nous apprenne que le soleil est bien présent sur les hauteurs de Nant. Ouf ça va mieux ! La vallée de la Dourbie est bien embrumée et nous roulons dans une ambiance un peu fraîche. Nous atteignons le village de La Roque Ste Marguerite et après avoir un peu cherché notre route, nous attaquons une bonne grimpette qui nous mène au dessus du village de Rosier.
le brouillard du matin..... n'empêche pas le gravillon
Hésitation sur l'itinéraire, La Tour de La Roque ( pour joueur d'échecs)
y'a d'la pente , bonjour bonjour les manivelles ....( air connu ) Cette montée nous fait rejoindre la route déjà empruntée mercredi, mais dans l'autre sens. A Rosier, commence notre parcours dans les gorges du Tarn, + de 50 km tout le long de cette rivière au cours desquels nous ne cesserons d'admirer le travail de la nature.
un ancien pont, attention Marcel, vise bien pour passer
au bord du Tarn,ce groupe de maisons appartient à une famille et a fait l'objet d'un reportage sur M6
Les deux groupes se retrouveront à La Malène, juste le temps de faire la photo souvenir officielle du séjour.
Puis ce sera Ste Enimie jusqu'à Florac, Vébron et l'arrêt pique nique. Entre temps, Basile nous a rejoint et nous roulerons ensemble jusqu'à Florac.
toujours en file indienne, même pour manger. Tiens c'est jour de lessive ? De gros nuages s'amoncellent, il est temps de poursuivre notre périple. Le dessert s'appelle "Perjuret", une petite formalité à 1030 mètres qui nous tient particulièrement à cœur avec le tristement célèbre épisode de la chute de Roger RIVIERE.
la stèle érigée en souvenir ( la plaque a été offerte par les cyclos de St Galmier)
Nous débutons la montée sous une averse et le temps pour quelques uns de mettre les impers, les autres s'échappent et nous ne les retrouverons qu'au sommet. Donc pas de "bagarre" générale dans le col pour cette fois. La montée du groupe 1 a fait quelques dégâts et nous récupérons un élément qui souhaite lever le pied, ça fait deux avec celui qui a monté le col du Minier la veille et qui ne l'a pas bien digéré. Ah le vélo n'est pas toujours facile !! Nous dévalons le col, direction Meyrueis où nous retrouvons le bar qui nous avait déjà servi le café le mercredi (voir plus haut). A partir d'ici, les 2 groupes se séparent et les costauds remontent la Pierre Plantée alors que les cyclos rentrent par Lanuejols et Revens. Une longue balade sur le plateau avant de plonger sur la vallée de la Dourbie où nous retrouvons la route de Nant.
pendant ce temps, le groupe 1 a divergé sur le bon parcours et certains se sont retrouvés un peu seuls... Tout le monde est de retour au centre pour savourer une bonne petite mousse et se raconter ses exploits de la journée. Très belle balade, sans aucun incident ni même une crevaison, d'ailleurs la preuve, c'est écrit sur un panneau :
et demain ? vélo ou pas vélo ? la nuit porte conseil alors dormons...
Samedi 20 juin : le jour s'est levé sur le centre mais certains ont choisi de faire la gras'mat'. Il faut dire que le vent du nord s'est aussi levé et a bien rafraîchit l'atmosphère. Sur le papier, le parcours paraît facile, 54 km et un dénivelé raisonnable à côté des jours précédents. Me voici donc embarqué avec les "costauds" et 3 courageux de groupe 2. Tout va bien jusqu'à St jean du Bruel mais la montée qui a suivi m'a été fatale et c'est au ralenti que j'ai fini l'ascension. Pendant ce temps, les autres ont filé devant et JO joue les serre-file, quant, au détour d'un virage entre deux maisons, nous retrouvons le Président, les mains dans la graisse de sa chaîne, tentant désespérément de défaire les nœuds que celle-ci vient de lui faire. Ah il finit bien la semaine le Marcel, aurait-il déjà oublié le panneau ci-dessus ? Nous sortons les clés qui vont permettre de dégager la chaine et de repartir. Nous retrouvons le groupe à Dourbies, où ils se sont mis à l'abri du vent qui nous transperce. Retour par le col de Pierre Plantée jusqu'à Nant pour la dernière fois. Aucune photo n'ayant été faite au cours de cette sortie, vous ne pourrez pas voir les déboires du Président. Déjeuner au Roc Nantais puis dispersion des troupes pour un retour à domicile. Pour finir, une sélection de vues du Roc Nantais,
Conclusion : je peux reprendre les mêmes termes que l'an passé : Grâce à une organisation sans failles, à une ambiance générale très festive, à une assistance irréprochable de nos deux « Marcel », à une météo parfois capricieuse mais en majorité compatible avec notre sport favori, nous avons pu réaliser une semaine intensive de vélo. Les chiffres ci-dessous en témoignent. L’accueil au village vacances était des plus agréables, la nourriture variée et conséquente et les différents motifs à sortir les verres et les bouteilles n’ont pas manqué de contribuer à cette sympathique ambiance. Agissons pour que ces stages perdurent dans les années à venir.
Le vélo comme on l'aime ! ouvrant de grands espaces de liberté.
Récapitulatif de la semaine : Lundi 15 90 km dénivelé 1220 m Mardi 16 112.5 km dénivelé 1670 m Mercredi 17 134 km dénivelé 1979 m Jeudi 18 110 km dénivelé 1830 m Vendredi 19 166 km dénivelé 1923 m Samedi 20 46 km dénivelé 640 m Total 658.5 km dénivelé 9262 m
rendez vous l'an prochain pour de nouvelles aventures .
@ndré.web / juillet 2009 |
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La dernière mise à jour de ce site date du 04 décembre 2009
impressionnant non ?
et
en prime, la chorale du CTSJ, une petite vidéo bien sympathique...
nous avons été suivis par le Père Noël
la Dourbie,
